Le présumé bailleur de fonds Baazov affirme ne rien savoir de l’opération de rachat d’Amaya. – Online Casinos 707

David Baazov
David Baazov

Dans une tournure bizarre des événements mardi, un journal canadien a rapporté que la société de banque d’investissement de Dubaï, KBC Aldini Capital Limited, a nié avoir soutenu le Prise de contrôle d’Amaya pour 6,7 milliards de dollars dans le but de privatiser la société de jeux. Amaya est la société mère de PokerStars, le plus grand site de poker en ligne au monde.

Les actions d’Amaya ont chuté

Après qu’il a été rapporté que KBC a nié toute implication dans l’opération de rachat de la société par Baazov, L’action Amaya a chuté de sept pour cent mardi, pour sa troisième journée consécutive de pertes.

Kalani Lalqui est le chef de la direction de KBC, a déclaré au journal Globe and Mail lors d’une entrevue téléphonique qu’il « ne savait pas ce qu’était Amaya » et que sa société a déposé une plainte auprès de l’Office national du film. Securities and Exchange Commission (SEC).

KBC listé dans le dépôt de la SEC

Baazov a déclaré dans le dépôt de la SEC qu’il y avait quatre bailleurs de fonds privés qui aideraient à financer l’opération d’Amaya dans le cadre d’une offre de rachat proposée de 3,5 milliards de dollars, notamment Head and Shoulders Global Investment Fund SPC, Goldenway Capital SPC, Ferdyne Advisory Inc. et KBC Aldini Capital Limited.

Enquête menée par Block &amp ; Leviton LLP

Quelques heures après l’annonce de la nouvelle, le cabinet d’avocats Block &amp ; Leviton, basé à Boston, a déclaré qu’il enquêtait sur des affaires liées à
« des allégations potentielles de fraude ou de manipulation de titres impliquant David Baazov, l’ancien PDG d’Amaya Inc. afin de déterminer si les investisseurs d’Amaya peuvent récupérer des pertes en vertu des lois fédérales sur les titres. Le cabinet d’avocats souhaite parler à tout investisseur ayant acheté des actions Amaya le 14 novembre 2016 ou après.

Accusations de fraude

Ce n’est pas le seul problème de Baazov en ce moment qui pourrait le mettre dans l’eau chaude, il est accusé d’un « délit d’initié » où il aurait partagé des informations confidentielles avec d’autres parties, un cercle proche d’amis et de famille, dans le but de bénéficier de transactions boursières illégales, ainsi que d’influencer le prix d’Amaya.

Le groupe auquel Baazov se serait confié aurait profité d’environ 1,5 million de dollars dans des opérations boursières distinctes remontant jusqu’en 2010. S’il est reconnu coupable des accusations de délit d’initié, il risque jusqu’à 5 ans de prison.

Tout cela a un mauvais goût.